La Terre a les pôles magnétiques situés sur les marges circulaires d’entrée de ces deux vides naturelles (ouvertures) du pôle nord et du pôle sud (voir la figure no. 2-a, b, c) et ils ne sont pas situés sur l’axe de rotation de la terre pour le simple et élémentaire fait que la terre n’a pas la configuration d’une sphère pleine comme on l’a cru malheureusement et on le croit aussi aujourd’hui.

Que les choses se présentent ainsi la boussole classique la confirme et plus encore, les explorateurs qui arrivent dans la zone d’entrée constatent que l’aiguille de la boussole commence à montrer à fur et à mesure la direction "vers le bas".

Le problème de l’auto maintenance permanente et pour une période assez longue d’une intensité constante du champ de force de nature électromagnétique capable de créer à une échelle planétaire les deux pôles magnétiques diamétralement opposés constitue un résultat d’une création anticipée et ne peut s’agir d’un résultat du hasard.

J’affirme cela parce que seulement d’une façon ingénieuse on a pu réaliser une harmonie parfaite entre plusieurs facteurs d’influence (chacun de son côté en agissant comme un paramètre) comme sont : une certaine valeur de l’ongle d’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre, une certaine valeur de la vitesse de rotation de la Terre, une certaine valeur des diamètres des deux grands orifices d’entrée vers la surface intérieure de la Terre, une certaine distribution de la matière (minerais de fer, magnétite) qui se trouve dans la composante de la Terre, une certaine valeur de l’énergie reçue du Soleil c’est à dire une certaine atmosphère terrestre, une certaine distribution de grandes agglomérations de matière avec une densité plus grande (ex. métaux) dans toute la structure interne de la matière située entre la surface extérieure et la surface intérieure de la Terre.

Tous ces paramètres d’état s’entremêlent d’une façon permanente et se conditionnent réciproquement continuellement à cause en premier lieu de la variation de l’énergie reçue du Soleil.

Ainsi si on tient compte des implications que les hausses de température dans les zones de deux pôles de la Terre (dans les zones de passage lent de la surface extérieure vers la surface intérieure) corrélés avec le mouvement de rotation de la Terre, on pourra constater facilement qu’en base des lois de la physique connue en réalité on rencontre le principe de fonctionnement d’une magnéto géant comme générateur de courants de haute tension et en deuxième lieu concomitant, avec un dynamisme très important qui fonctionne cette fois-ci comme un grand moteur de courant continue producteur de charge mécanique permanente (couplage de rotation, avec le but de maintenir la vitesse de rotation de la Terre à une valeur constante) ayant une excitation auto-règlable par le mélange permanent des paramètres d’état mentionnés plus haut, à la fin tout dépendant de la valeur de l’énergie reçue en permanence du Soleil sous forme de lumière et radiations caloriques.

Il est déjà connu par les lois de notre physique que si par exemple on prend une plaque de métal et on la plonge dans un liquide à une profondeur où il y a une température plus petite et une plaque plongée dans le même liquide plus à la surface à une température plus grande, alors si on mesure avec un voltmètre, on pourra constater qu’une source de courant continu électrique apparaît.

Aussi, si par exemple on a deux conducteurs des métaux différents qu’on unit, en soumettant la zone de raccord à une température plus élevée on pourra constater cette fois-ci aussi qu’on a déjà une source de production d’un courant continu (le principe du thermocouple).

Aussi connaît-on plusieurs principes de production du courant électrique par des divers réactions chimiques entre les différents matériaux (des piles électriques de production du courant continu).

Les précisions hautes en liaison avec les phénomènes de production du courant continu je les ai faites afin de former une vision plus large et plus complexe en liaison avec les "convulsions" des viscères de la Terre à échelle planétaire parce que ces paramètres d’état mentionnés antérieurement produisent indirectement le rechauffement à voie électrique des couches en profondeur (le mécanisme de la production des volcans que je commenterai dans le 8^ème chapitre de ce livre

L’analyse de plusieurs facteurs d’état peut être faite par l’homme seulement dans une petite mesure par une simulation dans l’ordinateur et seulement après une cartographie correcte des deux surfaces de la Terre, de la même manière l’identification et la connaissance de la structure interne sur chaque kilomètre carré de la surface externe vers chaque surface interne (évidemment un peu plus petite) de la Terre.

Des aspects présentés en bref, on peut facilement tirer la conclusion que la réalité véritable de l’environnement n’est pas si facile et si simple à interpréter tel comme on l’a cru et on continue de croire officiellement jusqu’à présent et qu’en fait il nous reste encore beaucoup de choses à apprendre sur „notre maison commune”, maison qui n’est pas seulement la nôtre et cela depuis longtemps qu’on le veuille ou pas.